lunes, 29 de octubre de 2012

HALLOWEEN EN FRANCE...




Citrouilles, toiles d’araignées, fantômes et autres chauves-souris…Halloween, célèbre fête folklorique depuis des millénaires tient ses origines dans les sociétés anglo-saxonnes et celtes…mais quand et comment Halloween t’il débarqué en France?
L’arrivée dans le pays
Certains prétendent qu’Halloween était célébrée par les Gaulois sous le nom de Samain et qu’elle marquait, pour les peuples celtes, la fin de l’été (saison claire) et l’entrée dans la nouvelle année (saison obscure). La nuit du 31 Octobre au 1er Novembre était alors le théâtre de nombreux rites druidiques célébrant cette entrée dans la nouvelle année.
Cependant, Halloween en tant que fête populaire n’est apparue que dans les années 80 mais à l’époque elle n’est fêtée que par les minorités anglo-saxonnes dans certains bars et certains restaurants, la fête est alors quasi-inconnue de la plupart des Français. Halloween va se dévoiler au public français dans les années 90. En effet, dès 1992, la société César, spécialisée dans le déguisement, travaille afin d'implanter en France ces coutumes mais l'année du lancement marketing massif est 1997. Les entreprises américaines en France en font la promotion. Disneyland Paris, Coca-Cola, McDonald's introduisent les symboles de la fête dans leurs campagnes publicitaire et même la compagnie de télécommunication France Telecom lance un téléphone mobile de couleur orange baptisé Olaween.
Les célébrations
Halloween en France est célébrée principalement par les jeunes qui se rendent chez des amis, à des fêtes organisées pour l’occasion ou dans les bars. Les déguisements qu’ils portent ont plutôt tendance à se vouloir « effrayant » (vampires, fantômes, sorcières…) contrairement aux jeunes américains ou britanniques qui voient en Halloween une occasion de se déguiser en super-héros, ou en princesses…
Les magasins, les centres commerciaux et les restaurants sont décorés en orange et noir avec des citrouilles, des bougies. Les pâtissiers et les chocolatiers en profitent pour vendre des chocolats et sucreries autour de la thématique d’Halloween.
Les plus jeunes, quant à eux, passent de maison en maison amassant les sucreries et clamant « des bonbons ou des coups de bâton » traduction du fameux « trick or treat ».
Une fête controversée
Halloween est une fête qui fait débat depuis son arrivée pour plusieurs raisons. La raison principale est que, traditionnellement, la période du 31 Octobre au 2 Novembre est une période religieuse où les catholique honorent leur Saints, se rendent au cimetière ou à l’Eglise à l’occasion de la Toussaint et de la Fête des Morts. Les plus anciens voient alors en Halloween une distraction de mauvais goût.
Ce désamour de la fête d’Halloween par certaines parties de la population française est également dû au fait qu’Halloween est essentiellement vue en France comme une fête commerciale et un coup marketing orchestré par les américains et leur désir de globalisation et d’Américanisation de la planète.
Halloween s’essouffle…
Halloween a connu en France un succès foudroyant devenant en 2000 la troisième fête commerciale juste derrière Noel et le jour de l’An.
Pourtant la fête va progressivement perdre de son importance notamment face aux oppositions politiques et religieuses dont elle fait l’objet.
Cette année encore Halloween tombe un peu plus dans l’oubli ; les rues et les magasins sont très peu décorés. Cela reste seulement une occasion pour les enfants de grappiller quelques bonbons et pour les jeunes une occasion de faire la fête.


FARCE ou FRIANDISES??? 

L'IMPÉRATIF PRÉSENT

Bonjour tout le monde! 

Parce que savoir utiliser l'impératif en français c'est aussi important qu'en espagnol, voici un rappel de l'emploi et la formation de l'impératif : 

EXPLICATION


1. Le mode impératif présent : 

L'impératif est un mode qui sert à l'expression de l'ordre. EX : Viens ici, écoute-moi.
Le mode impératif ne comporte que deux temps : Le présent et le passé.
Règle générale de formation de l'impératif présent
Les verbes à l'impératif
=>
ne se conjuguent qu'à trois personnes :
La 2e personne du singulier et les 1re et 2e personnes du pluriel.
=>Le pronom personnel sujet n'est pas exprimé avant le verbe.
=>On le forme sur le même radical que le présent de l'indicatif (sauf pour certains verbes du 3e groupe dont le radical change)  auquel on ajoute les terminaisons suivantes : -e ou -s, -ons-ez.

Vous constatez que contrairement au présent de l'indicatifil ne faut pas mettre de « s » à la seconde personne de l’impératif des verbes qui se terminent en -er- (sauf exceptions décrites plus bas dans le cours) ainsi que pour le verbe 'aller'.
Ex : Mange, Mangeons, Mangez (au présent -> tu manges)
Ex : offre, offrons, offrez (au présent -> tu offres)
Ex : va, allons, allez (au présent -> tu vas)


2. La place du pronom à l'impératif : 

Dans une phrase le pronom personnel se place (et c’est généralement le cas) devant le verbe conjugué. Mais pas toujours quand le verbe auquel il se rapporte est à l’impératif :
Dans les phrases affirmatives
Les pronoms suivent le verbe et sont rattachés par un trait d’union
Souvenez-vous-en !

S’il y a plusieurs pronoms, le pronom COD suit immédiatement le verbe, les autres pronoms se placent après le verbe.
J’ai besoin de ce cours, donnez-le-moi
Donnez quoi ? le (cours) =COD,
Donnez à qui ?à 
moi => COI
Ne jamais dire : (donnez moi le).

Cas particulier
Si le COD est « en » alors il occupera toujours la deuxième place.
Il faut dire =>Donne-men.
Il ne faut pas dire => Donne moi (z’) en

Dans les phrases négatives
Si le verbe est à l’impératif négatif (avec ne… pas), les pronoms retrouvent leur place devant le verbe. Egalement vrai avec tous les verbes à la forme pronominale.
       Ne me le donne pas maintenant.
Ne te lève pas tout de suite
Ne vous perdez pas en chemin


3. Quand mettre un "s" à l'impératif singulier? 

À l'impératif singulier, les verbes du 1er groupe donc en « er » ont une terminaison en « e ».
Ex. Donn
e-lui une chance.
Cependant, devant « en » et « y » qui suivent immédiatement le verbe, on ajoute un « s » au verbe en « er » à l'impératif singulier,et on le joint par un trait d'union comme tous les pronoms qui suivent un impératif.
Amènes-y ta sœur.
Cette règle s'applique aussi au verbe « aller »
Vas-y.
Fiez-vous à votre oreille. Si vous prononcez le verbe et que le son vous paraît étrange, il peut y avoir un problème.
Mange-ensans « s » sonnerait d'une façon étrange à l'oreille.

À Londres, vas-y si tu veux, mais amènes-y ta sœur et rapporte-moi un cadeau.



EXERCICES :







LES PRONOMS RELATIFS...

Bonjour à tous et à toutes, 



Vous avez des problèmes avec les pronoms relatifs QUI, QUE, DONT, etc?
Voici un site Internet où ce point de grammaire est très bien expliqué : 





EXERCICES